Pour Lycéenne aussi en fait

Avez-vous remarqué que pour les jeux de rôles en général, le chapitre le plus long est celui consacré au combat ? Je me suis rendu compte que Lycéenne n'échappait pas à cette règle. Est-ce pour autant étonnant, même pour un jeu centré sur les sentiments des personnages ?
Je sais bien que les jdr en général "descendent " du wargame (i love wargames en plus
)et qu'en plus, c'est durant les "confrontations" que les joueurs risquent le plus de perdre leur perso et qu'il est de ce fait nécessaire de codifier au maximum ces moments afin de ne laisser aucune place au hasard si ce n'est celui des dés, et encore...
Sauf qu'à Lycéenne les "combats" peuvent être plus subtils, plus psychologiques, et surtout plus laissés au libre arbitre des joueurs. Est-ce la raison pour laquelle le chapitre sur la sensibilité (pourtant si important) est si court par rapport à celui sur les combats qui est pourtant plus "anexe" ?
Je sais bien que les jdr en général "descendent " du wargame (i love wargames en plus

Sauf qu'à Lycéenne les "combats" peuvent être plus subtils, plus psychologiques, et surtout plus laissés au libre arbitre des joueurs. Est-ce la raison pour laquelle le chapitre sur la sensibilité (pourtant si important) est si court par rapport à celui sur les combats qui est pourtant plus "anexe" ?