Le Pensionnat de Milena

Kate suggère à ses amies de revenir dans leur chambre. Elle se sent un peu frustrée de ne pas avoir pu parler à Hanna.
Elle repense alors à la phrase que Guilian lui avait dite:
"Si tu as le cran d'aller dans la cour après l'extinction des feux, tu nous verras ..."
Elle hésite à en parler aux autres...
- vous vous sentez comment les filles ? Fatiguées ?

Ramenée avec les dernières filles par une surveillante, je quitte la cour sans me presser, afin d'être dans les dernières - voie même la dernière - à rentrer, puis prend la direction des chambres... mais si je peux revenir dans la cour sans me faire voir - et en restant discrète - je n'hésite pas...

"J'aimerais bien savoir quand même ce qui ne va pas chez Hannah, parce que je ne pensa pas que traîner autour d'Alice l'aide vraiment à aller bien"
Shea surveille que personne ne les écoute :
"Si on doit encore se promener, on ferait peut-être mieux de trouver Açoka d'abord, je pense pas que Mabel se contente de sa performance de tout à l'heure..."

Açoka : une deuxième surveillante s'est jointe à la première pour suivre le "troupeau". Sortir du groupe sans se faire voir semble impossible.
L'extinction des feux est sur le point de sonner.

(Je vais peut-être archiver l'épisode 2, cette action annexe servant de "pont" entre le 2 et le 3, ça vous va ?)

- On pourrait peut être revenir dan les chambres, demander à Açoka si elle veut nous suivre; On voit si on peut parler à Hanna et ensuite on file dehors discrètement...
Qu'en pensez-vous ?

(Normalement, vous y êtes déjà, dans votre chambre, à moins que j'aie mal compris ...)
Deux surveillantes font leur apparition dans le couloir, escortant un petit groupe de filles qui se répartissent rapidement dans leurs chambres ; Açoka est parmi elles.
Les surveillantes annoncent qu'il faut se coucher rapidement et dans le calme, c'est bientôt l'extinction des feux.

kate a écrit:- On pourrait peut être revenir dan les chambres, demander à Açoka si elle veut nous suivre; On voit si on peut parler à Hanna et ensuite on file dehors discrètement...
Qu'en pensez-vous ?

Je crains que ça risque d'être un peu tard, car une escapade après le couvre feu ça se prépare, on verra ça demain et si on ne parvient pas à en savoir plus en journée, on mettra au point une sortie de nuit. D'accord?

-Ok pour moi

"ok pour moi aussi..."
Shea hésite un peu, se sentant gamine tout à coup
"...en attendant... Il vaut mieux rester le plus possible toutes les quatre... Je ne sais pas comment on pourrait se débrouiller si Mabel nous... abordait séparemment..."
Shea bute sur le dernier verbe, se demandant si elles ne pouvait pas aussi être espionnées en ce moment.


(HRP : édition pour changer "trois" en "quatre", Shea s'étant oubliée dans son compte des fées de Galraël)

Comme pour répondre aux pensées de Shea, vos médaillons luisent d'une lueur faible mais rassurante. Mais ... étrangement, il y a comme une note de tristesse dans cet éclat ...

J'entre dans la chambre et à peine la porte refermée, le médaillon émet une lueur...
- Ouf.. quelques secondes de moins... Bon...
Je me dirige vers la fenêtre, l'ouvre et passe la tête par dehors, regardant sur les cotéds et vers le bas
*Je me demande devant combien de fenêtres je passerais si je me transformais ?*

Puis je gagne la salle de bains faire uune dernière toilette, et reviens m'assoir sur mon lit, avec un livre écrit en sanscrit...
*Je vais attendre un peu et voir si je peux sortir... voir cette Gillian.. Elle ne doit rien savoir d'interessant, mais on ne sait jamais...*

L'extinction des feux sonne et les lumières s'éteignent dans le couloir. Si vous ne vous endormez pas tout de suite, vous entendez les pas rapides d'une surveillante dans le couloir, puis une porte qui se ferme et plus rien.

Açoka : votre chambre est au 1er étage, mais elle est du côté opposé à la cour. Le chemin qui passerait devant le moins de fenêtres est a priori celui qui passerait par-dessus le toit.

"Alors ? Qu'est-ce qu'on fait ? On se couche et on voit demain ?"
Shea demande ça comme une question ouverte, mais en la prononçant, elle réalise la fatigue qu'elle a accumulée avec les évênements du jour.
S'il faut faire quelque chose, je prendrai sur moi... Mais dormir quand même...