Deborah von Strauffenberg

Racontez ici les histoires de vos lycéennes.

Deborah von Strauffenberg

Messagepar Deborah » 05 Jan 2010, 21:57

Nom : von Strauffenberg
Prénom : Deborah Friederike Clémence
Age : 16
Taille : 161 cm
Poids : 46 kg
Cheveux : gris-blond
Yeux : gris-bleu
Signe particulier : Méchante cicatrice au bras gauche

Fille de Manfred von Strauffenberg, riche marchand d'art et de Sophie-Clarisse de Laval, fille d'un mousquetaire français, Deborah a vécu une enfance heureuse dans les jupes de sa mère, passant la plupart de son temps au coin de l'âtre ou à faire les quatre cent coups dehors avec son chien.
Enfant intelligente et travailleuse, elle aidait autant qu'elle le pouvait à la maison et dans la boutique de son père où elle empruntait régulièrement des livres en latin qu'elle aimait traduire dans son coin.
Elle aimait aussi tout particulièrement écouter les histoires de pirates de son oncle maternel qui, selon ses dires, avait navigué aux côtés d'Henry Jennings jusqu'à sa retraite en 1718 lorsque Woodes Rogers proposa une grâce inconditionnelle à tous les pirates, et elle retranscrivait fidèlement toutes les histoires pour pouvoir les lire et relire.

Lors de sa dixième année, tout son monde bascula quand sa mère mourut de maladie. Son oncle repartit en France et son père sombra dans la dépression et devint alcoolique et violent.
Deborah se mit alors à traîner de plus en plus dans les rues, fréquentant canailles et gredins, et apprit à se débrouiller seule malgré son jeune âge.
Les coups répétés de son père et des voyous la laissairent handicapée en deux domaines et finirent de la convaincre que ses meilleures armes restaient son sourire innocent et son charme exceptionnel dont elle usait et abusait pour berner les badauds. Non pas qu'elle ne savait pas répliquer, mais elle était consciente de la différence de force physique qui jouerait toujours en sa défaveur lors d'une bagarre.

Un soir d'hiver, un incendie se déclara dans la maison parce qu'elle avait mal éteint le feu dans l'âtre.
Son père furieux décida alors de l'envoyer au couvent pour corriger son comportement, espérant en faire une demoiselle convenable digne d'être mariée à un homme riche.
Elle entra donc dans un couvent à treize ans. La mère supérieure remarqua vite son don pour l'écriture et elle la prit comme secrétaire durant trois ans. Le couvent, cependant, loin de lui inculquer les bonnes manières ne fit que rendre son désir de liberté plus fort. Et même si Deborah bouillonait à l'intérieur, elle tentait de rester calme et attendait patiemment son heure. Elle avait malgré tout de plus en plus de mal à se contenir au fur et à mesure que le temps passait et quand des rumeurs concernant son comportement et ses moeurs dévoyées ne devinssent un peu trop bruyantes, la mère supérieure pris la décision de l'envoyer dans un endroit un peu plus strict pour la corriger et surtout sauver son couvent d'une mauvaise réputation.
Le mal est un bien qui n'est pas à sa place dixit Rudolf Steiner
Avatar de l’utilisateur
Deborah
Collégienne
Collégienne
 
Messages: 32
Inscrit le: 05 Jan 2010, 12:52
Localisation: Entre deux dimensions

Retour vers Pension

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 1 invité

cron